Loin d’être un parent pauvre de l’Art Urbain, ce petit autocollant s’est imposé, depuis 35 ans, comme un moyen d’expression à part entière, séduisant artistes et collectionneurs.Signe des temps, Jean-Pierre Dewerpe et Quentin Gassiat viennent de signer Stickers : entre art de rue et culture populaire (éditions Alternatives), un ouvrage dédié à cette composante de l’Art Urbain. C’est lors d’un voyage à Naples, « où il y a des milliers de stickers à peu près tous les deux mètres », que Jean-Pierre Dewerpe, spécialiste des environnements en forte croissance, mais aussi artiste plasticien depuis 20 ans, découvre cette forme d’expression. « Le sticker est intéressant parce qu’il est multiple, pouvant porter un message publicitaire, politique ou religieux – parfois très violent – ou artistique. C'est vraiment un reflet de la société ».Cultures urbainesCar avant d’être un medium artistique, le sticker […]
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